C’est à la suite de multiples épidémies de choléra que la construction des lavoirs fut rendue obligatoire en 1851 pour lutter contre le manque d’hygiène et améliorer les conditions de vie des habitants.

Aujourd’hui, le promeneur peut facilement découvrir un de ses nombreux lavoirs qui meublaient autrefois le territoire communal. À présent oubliés et désuets pour la plupart, ces lavoirs étaient de vrais lieux de vie et de rencontre des femmes des villages, qui la main leste gitaient le battoir.

Derrière une apparente convivialité, les différences sociales étaient visibles par la qualité du ligne, ce qui n’était sans doute pas sans provoquer des rivalités. Certains disent même :

Qu’autour des lavoirs et doués, on avait souvent la langue prompte aux cancans et potins du jours, et le geste nerveux.

 

Le lavoir du bourg de Pleslin comme celui de Trigavou, sont encore en bon état et vous invitent à vous prélasser quelques instants au détour d’une promenade.

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